Nous avons testé : SIGGIL

Entrez dans le Siggil et capturez les esprit qui s’en échappent. A votre tour, prenez une carte et une seule. Choisissez la bonne ! Contenu : 56 cartes réparties en 7 familles de 7 cartes numérotées de 1 à 7 et 7 esprits associés chacun à un symbole et un chiffre.

Essen, le saint Graal, le grand, le gigantesque festival de jeux en Allemagne approche à grand pas. Et avec lui, l’annonce de sorties de nouveaux jeux : Le Petit Chaperon Rouge, Mysterium, 7 Wonders Duel ou encore Taverna. Et je me régale d’avance de pouvoir en tester certains. Mais pour l’instant, attardons nous sur un jeu sorti récemment : Siggil.
C’est un jeu de Henri Kermarrec et Maud Chamel à partir de 8 ans pour approximativement 20 min de réflexion. Et grande nouveauté, pour moi en tout cas, on peut y jouer seul ou à plusieurs sans être en coopération. Cool !

Lors de ma première partie jouée en solo et en mode facile, mon objectif était de capturer les 7 esprits du Siggil. Je devais pour cela réunir trois cartes par esprit qui nécessitaient d’avoir en commun avec ce dernier soit le même symbole, soit une même valeur. Et déjà, petite complication, les trois cartes doivent avoir la même caractéristique : que des chiffres ou que des symboles. Et vu que les cartes ne sont pas toutes accessibles au même moment, dur dur parfois d’avoir les cartes correspondantes à un esprit en même temps. Ah oui, je ne l’avais pas précisé ? Il n’y a que les cartes non recouvertes par d’autre cartes qui peuvent être prise dans le Siggil (c’est le terrain formé par les cartes sur la table). De plus on cumule à cela un autre point de règle disant qu’avant la phase de sélection d’une carte, je dois d’abord défausser une carte accessible du Siggil. Et ça, des fois, ça impose un choix drastique !

Et ce choix drastique est toujours présent à plusieurs joueurs. Lors de ma seconde partie, à deux, mon objectif était différent : accumuler plus d’esprit que mon adversaire. Combiné à la possibilité de récupérer des esprits accessibles, je peux aussi prendre possession d’un esprit déjà sous le contrôle de mon adversaire, à condition de pouvoir réunir plus de cartes que lui. Par exemple, ça m’est arrivé d’avoir trois cartes en main me permettant de récupérer un esprit accessible, et pourtant je ne le fais pas. Je préfère attendre que la partie soit plus avancée afin que mon adversaire ne puisse pas avoir le temps de réagir et de réunir les cartes correspondantes à l’esprit que je peux prendre. De plus, grâce à cette attente, j’ai pu récolter des cartes du Siggil me permettant de compléter mon brelan afin de ne laisser aucune chance à mon adversaire de me piquer mon esprit. Eh oui, je n’ai pas envie de devenir fou ! (Oui, je sais, je devais la faire …) Et cette façon de jouer n’est qu’une stratégie parmi tant d’autre à appliquer pendant une partie à deux ou plusieurs joueurs.

En tout cas, que ce soit en mode solo ou à plusieurs, j’ai apprécié et je ne me suis pas ennuyer un seul instant pendant les parties. Je compte y rejouer, et ça, c’est ce que j’attend d’un jeu de société. Voilà pourquoi j’ai eu envie de vous faire découvrir mon expérience du jeu Siggil au travers de cet article.

Ludiquement,

Victor

PS : Je remercie mon collègue Valou qui a été mon adversaire dans la partie à deux. Et quelque chose me dit qu’il prendra sa revanche, sur ce jeu ou un autre. Sûrement l’occasion d’un autre article !


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